17 ans ♥
2008...2025
UNE VIE , 17 ans mon bébé
Mon bébé qui passe le bac
Mon bébé qui va passer le permis
Mon bébé qui va travailler
Mon bébé engagé
Mon bébé sportif
Mon bébé qui lit les gens bien mieux que moi
Mon bébé si beau
Mon bébé si proche de sa petite sœur et son petit frère
17 ans de découvertes et d apprentissageS
17 ans d'amour fou et inconditionnel
Je te souhaite de réaliser tous tes rêves, ceux que tu as et ceux à venir
Je te souhaite d être heureux
Je te souhaite d être toujours bien entouré
Alors évidemment le tableau n'est pas parfait
Rigueur scolaire, "nettoyage", linge. ... Il y a des axes de progrès
Tu es parfaitement imparfait et c'est parfait
Dans le magasin des ados je t aurais choisi toi 

Quelle fierté d’être ta maman, quelle fierté de te voir grandir, mûrir
Tu es encore plus beau à l intérieur qu'à l'extérieur
Je me demande comment nous avons fait avec ton papa pour fabriquer un "petit" être comme toi .
Tu n'es pas scolaire, tu n'es pas lisse,
Mais plutôt qu'appuyer sur ce que tu n'es pas (et en plus quel en est l'intérêt?)
Tu es honnête,
Tu es un ami fidèle,
Tu es un frère aimant et protecteur,
Tu es un fils touchant et touché,
Tu es drôle, tellement drôle,
Tu comprends l'implicite, l'ineffable,
Tu as les pieds sur Terre,
Tu es fiable, solide et persévérant,
Tu aimes la vie.
Merci pour cette belle année,
Merci pour notre séjour à Munich,
Merci et félicitations pour toutes tes réussites (j'espère qu'on pourra ajouter le bac et le permis à cette longue liste...)
Va, vis et deviens
Nous serons toujours là, n'importe où, n'importe quand.
Je te le répète , amour inconditionnel et fierté
Joyeux anniversaire mon bébé
I
On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.
- Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants !
- On va sous les tilleuls verts de la promenade.
Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !
L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière ;
Le vent chargé de bruits - la ville n'est pas loin -
A des parfums de vigne et des parfums de bière...
II
- Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon
D'azur sombre, encadré d'une petite branche,
Piqué d'une mauvaise étoile, qui se fond
Avec de doux frissons, petite et toute blanche...
Nuit de juin ! Dix-sept ans ! - On se laisse griser.
La sève est du champagne et vous monte à la tête...
On divague ; on se sent aux lèvres un baiser
Qui palpite là, comme une petite bête...
III
Le coeur fou robinsonne à travers les romans,
- Lorsque, dans la clarté d'un pâle réverbère,
Passe une demoiselle aux petits airs charmants,
Sous l'ombre du faux col effrayant de son père...
Et, comme elle vous trouve immensément naïf,
Tout en faisant trotter ses petites bottines,
Elle se tourne, alerte et d'un mouvement vif...
- Sur vos lèvres alors meurent les cavatines...
IV
Vous êtes amoureux. Loué jusqu'au mois d'août.
Vous êtes amoureux. - Vos sonnets La font rire.
Tous vos amis s'en vont, vous êtes mauvais goût.
- Puis l'adorée, un soir, a daigné vous écrire !...
- Ce soir-là..., - vous rentrez aux cafés éclatants,
Vous demandez des bocks ou de la limonade...
- On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade.
- Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,
Des cafés tapageurs aux lustres éclatants !
- On va sous les tilleuls verts de la promenade.
Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !
L'air est parfois si doux, qu'on ferme la paupière ;
Le vent chargé de bruits - la ville n'est pas loin -
A des parfums de vigne et des parfums de bière...
II
- Voilà qu'on aperçoit un tout petit chiffon
D'azur sombre, encadré d'une petite branche,
Piqué d'une mauvaise étoile, qui se fond
Avec de doux frissons, petite et toute blanche...
Nuit de juin ! Dix-sept ans ! - On se laisse griser.
La sève est du champagne et vous monte à la tête...
On divague ; on se sent aux lèvres un baiser
Qui palpite là, comme une petite bête...
III
Le coeur fou robinsonne à travers les romans,
- Lorsque, dans la clarté d'un pâle réverbère,
Passe une demoiselle aux petits airs charmants,
Sous l'ombre du faux col effrayant de son père...
Et, comme elle vous trouve immensément naïf,
Tout en faisant trotter ses petites bottines,
Elle se tourne, alerte et d'un mouvement vif...
- Sur vos lèvres alors meurent les cavatines...
IV
Vous êtes amoureux. Loué jusqu'au mois d'août.
Vous êtes amoureux. - Vos sonnets La font rire.
Tous vos amis s'en vont, vous êtes mauvais goût.
- Puis l'adorée, un soir, a daigné vous écrire !...
- Ce soir-là..., - vous rentrez aux cafés éclatants,
Vous demandez des bocks ou de la limonade...
- On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans
Et qu'on a des tilleuls verts sur la promenade.
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